NDA dans le Parisien
Page 1 sur 1
NDA dans le Parisien
« Vous en avez ras le bol ? Allez
voter ! »
Député de l’Essonne, Nicolas
DUPONT-AIGNAN présentera des listes dans cinq régions. Lui-même est chef
de file de Debout la République en Ile-de-France.
Avec qui allez-vous à la bataille ?
NICOLAS DUPONT-AIGNAN.
Les listes de Debout la République seront pour la première fois
soutenues par différents mouvements politiques qui allaient auparavant à
la bataille en ordre dispersé. Je pense au Centre national des
indépendants (CNI), qui nous rejoint en Ile-de-France, au Rassemblement
pour l’indépendance de la France de Paul-Marie Coûteaux et à certains
villepinistes comme Christian Rivoal, président du Club Villepin dans le
Val d’Oise. Il y a enfin l’émergence d’une vraie force alternative à
l’UMP et la sensibilité gaulliste, républicaine et sociale sera
présente dans la campagne.
Les régionales sont-elles un
scrutin national ou local ?
NICOLAS DUPONT-AIGNAN.
Ce sont des élections locales qui ont valeur de test national. En
Ile-de-France, il y a un aspect galère des transports que n’ont su
résoudre ni l’Etat ni la région. M. Huchon et Mmes Duflot et Pécresse ne
connaissent pas la réalité de ce que vivent les habitants. Mme Pécresse
nous dit qu’elle va sauver l’Ile-de-France avec le Grand Paris,
c’est-à-dire un métro qui sera prêt dans vingt ans pour la Défense !
Elle préfère plaire au président de la République en soutenant le Grand
Paris, plutôt que réparer les RER. Je propose donc qu’avec 2 milliards
d’euros, soit 10 % du budget du Grand Paris, on répare les RER qui
accueillent trois millions de passagers par jour. Quant aux Verts, j’en
ai assez de leur démagogie anti-voitures, qui ne sert pas
l’environnement.
Et sur le plan national ?
NICOLAS DUPONT-AIGNAN.
Il y a un caractère de plus en plus insupportable entre le discours du
président de la République et ses actes. Nicolas Sarkozy passe son temps
à s’indigner des dégâts du capitalisme. Il a raison. Mais dans les
faits, il se couche devant les grands de ce monde qui l’ont fait roi.
Nous proposons l’encadrement du secteur bancaire, un protectionnisme
européen raisonnable, la suppression des charges sociales qui pénalisent
l’emploi.
voter ! »
Député de l’Essonne, Nicolas
DUPONT-AIGNAN présentera des listes dans cinq régions. Lui-même est chef
de file de Debout la République en Ile-de-France.
Avec qui allez-vous à la bataille ?
NICOLAS DUPONT-AIGNAN.
Les listes de Debout la République seront pour la première fois
soutenues par différents mouvements politiques qui allaient auparavant à
la bataille en ordre dispersé. Je pense au Centre national des
indépendants (CNI), qui nous rejoint en Ile-de-France, au Rassemblement
pour l’indépendance de la France de Paul-Marie Coûteaux et à certains
villepinistes comme Christian Rivoal, président du Club Villepin dans le
Val d’Oise. Il y a enfin l’émergence d’une vraie force alternative à
l’UMP et la sensibilité gaulliste, républicaine et sociale sera
présente dans la campagne.
Les régionales sont-elles un
scrutin national ou local ?
NICOLAS DUPONT-AIGNAN.
Ce sont des élections locales qui ont valeur de test national. En
Ile-de-France, il y a un aspect galère des transports que n’ont su
résoudre ni l’Etat ni la région. M. Huchon et Mmes Duflot et Pécresse ne
connaissent pas la réalité de ce que vivent les habitants. Mme Pécresse
nous dit qu’elle va sauver l’Ile-de-France avec le Grand Paris,
c’est-à-dire un métro qui sera prêt dans vingt ans pour la Défense !
Elle préfère plaire au président de la République en soutenant le Grand
Paris, plutôt que réparer les RER. Je propose donc qu’avec 2 milliards
d’euros, soit 10 % du budget du Grand Paris, on répare les RER qui
accueillent trois millions de passagers par jour. Quant aux Verts, j’en
ai assez de leur démagogie anti-voitures, qui ne sert pas
l’environnement.
Et sur le plan national ?
NICOLAS DUPONT-AIGNAN.
Il y a un caractère de plus en plus insupportable entre le discours du
président de la République et ses actes. Nicolas Sarkozy passe son temps
à s’indigner des dégâts du capitalisme. Il a raison. Mais dans les
faits, il se couche devant les grands de ce monde qui l’ont fait roi.
Nous proposons l’encadrement du secteur bancaire, un protectionnisme
européen raisonnable, la suppression des charges sociales qui pénalisent
l’emploi.
Patriote- Modérateur
Sujets similaires
» Mille-feuille parisien
» Pas d'armes dans les banlieues!??
» DLR Fin
» Réduction de personnnel soignant dans les hopitaux
» 50% d'augementation de loyer par une société HLM dans le Val de Marne
» Pas d'armes dans les banlieues!??
» DLR Fin
» Réduction de personnnel soignant dans les hopitaux
» 50% d'augementation de loyer par une société HLM dans le Val de Marne
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum